Par la rédaction B7 | 22 octobre 2025
> "Ce n’est pas la fin. C’est le début d’un test moral pour les nations." – Analyste ONU
🧭 I. Contexte : Une guerre qui ne dit pas son nom
Depuis le 7 octobre 2023, Gaza est le théâtre d’un conflit asymétrique entre Israël et le Hamas. Ce qui avait commencé comme une riposte militaire s’est transformé en une spirale de représailles, de bombardements, et de drames humanitaires. Plus de 30 000 morts, des milliers de disparus, et une population prise en étau entre deux logiques de guerre.
Le 9 octobre 2025, sous pression internationale, un cessez-le-feu en trois phases est signé :
1. Arrêt des hostilités
2. Restitution des corps des otages
3. Désarmement progressif du Hamas
Mais dès le 19 octobre, les premières fissures apparaissent.
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🔥 II. Ce qui s’est passé cette semaine
- Dimanche 20 octobre : Israël accuse le Hamas de ne pas avoir restitué tous les corps. En représailles, des frappes ciblent le camp de Bureij. 45 morts, dont 12 enfants.
- Lundi 21 octobre : Le Hamas annonce avoir retrouvé deux corps sous les décombres, identifiés comme Tamir Adar et Aryeh Zalmanovich, figures du kibboutz Nir Oz.
- Mardi 22 octobre : JD Vance, vice-président américain, en visite à Jérusalem, déclare : "Nous sommes prêts à tuer les responsables si les corps ne sont pas rendus." Une phrase qui fait trembler les diplomates.
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🕊️ III. Où en sommes-nous ?
- Le cessez-le-feu tient… mais à peine. Les frappes sont sporadiques, les négociations opaques.
- La Turquie a envoyé des équipes de secours pour récupérer les corps sous les ruines.
- L’ONU appelle à la retenue, mais n’a pas de levier réel. Le Conseil de sécurité est divisé.
- La Grande-Bretagne déploie des observateurs militaires pour surveiller les engagements.
- La Cour internationale de justice s’apprête à statuer sur les responsabilités humanitaires d’Israël.
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📉 IV. Analyse B7 : Une paix volontairement floue
Ce cessez-le-feu n’est pas un accord de paix. C’est un outil diplomatique pour gagner du temps, calmer les opinions publiques, et tester les lignes rouges. Il repose sur une ambiguïté stratégique : chacun peut dire qu’il respecte l’accord, tout en poursuivant ses objectifs.
> "La paix ne se décrète pas. Elle se prouve, chaque jour, par des actes." – Rédaction B7
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📢 V. Ce qui se joue maintenant
- La mémoire des corps : Chaque restitution est une victoire morale, mais aussi un levier politique.
- La guerre des récits : Israël parle de sécurité, le Hamas de résistance, et les civils de survie.
- La diplomatie du silence : Les grandes puissances observent, calculent, et attendent le moment de réagir.
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📌 Conclusion : Gaza, miroir du monde
Ce conflit n’est pas local. Il est le miroir d’un monde fracturé, où les droits humains sont négociés, où les cercueils deviennent des arguments, et où la paix est un luxe diplomatique.
Bukavu7 s’engage à donner la voix aux sans voix, à documenter chaque vérité, et à refuser l’ambiguïté.
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En d'autres termes :
Par la rédaction B7 | 22 octobre 2025
> "Chaque fois qu’il y a un acte de violence, on crie à la fin du cessez-le-feu. Ce n’est pas la fin." – JD Vance, vice-président des États-Unis
Treize jours après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, la paix reste un mirage suspendu à des fils diplomatiques. Dimanche, Gaza a de nouveau tremblé sous les frappes. L’ONU s’est dite « encouragée » par la réaffirmation des engagements, mais les cercueils continuent de traverser les points de passage.
🔥 Une trêve qui vacille
- Le cessez-le-feu, négocié sous pression par l’administration Trump, repose sur un plan en trois phases : arrêt des hostilités, restitution des corps, et désarmement progressif du Hamas.
- Israël accuse le Hamas de ne pas avoir restitué tous les corps des otages. En réponse, des frappes ont visé le camp de réfugiés de Bureij, causant 45 morts selon la défense civile.
- Deux corps d’otages ont été identifiés cette semaine : Tamir Adar et Aryeh Zalmanovich, figures symboliques du kibboutz Nir Oz.
🕊️ Diplomatie sous haute tension
- JD Vance, en visite à Jérusalem, se dit « très optimiste » sur le maintien de la trêve. Mais en coulisses, les États-Unis et Israël menacent de reprendre les combats si le Hamas ne respecte pas l’accord.
- La Grande-Bretagne a discrètement déployé des officiers pour surveiller le cessez-le-feu via le Centre de coordination militaro-civile (CMCC).
- La Cour internationale de justice s’apprête à rendre un avis sur les obligations humanitaires d’Israël.
📉 Une paix volontairement floue
- Le plan de paix est volontairement ambigu, selon les experts. Il permet un accord minimal entre deux camps irréconciliables.
- L’ONU et le CICR réclament l’ouverture totale des points de passage pour acheminer l’aide humanitaire, toujours bloquée par des considérations militaires.
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🎯 Analyse B7 : La paix ne se décrète pas, elle se prouve
Ce cessez-le-feu est un théâtre diplomatique où chaque silence peut cacher une menace. Les cercueils traversent les frontières pendant que les caméras diplomatiques filment des poignées de main. Gaza n’a pas besoin d’un plan en trois phases, mais d’un engagement en trois dimensions : vérité, justice, reconstruction.
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